»Lorsqu’un ventilateur à pied tombe en pâmoison devant un cotillon, qu’il se tient là érigé de tout son être, soufflant pour faire virevolter cet animal minuscule et ridicule, on ne peut pas y voir une parodie de l’amour. Non ces deux êtres se respectent, savent garder la distance, se vouvoient, deviennent beaux l’un par l’autre alors même qu’ils ne sont rien, mécanique pour l’un, papillon artificiel pour l’autre.«
»Ein Ventilator, der von einer Papierschlange hingerissen ist und mit all seiner Kraft dieses winzige und lächerliche Tier herumwirbelt – das kann man keinesfalls als Parodie auf die Liebe betrachten. Nein, diese zwei Wesen nehmen Rücksicht aufeinander, wahren Distanz, siezen sich, werden schöner dank dem anderen, auch wenn sie selbst nichts anderes sind als eine einfache Mechanik der eine, ein fiktiver Schmetterling der andere.«
–Christian Balmer